Les Low Tech s’invitent dans l’enseignement supérieur

Le projet Eco-SESA, Disrupt Campus de l’UGA et quelques chercheurs indépendants organisent mardi 6 octobre à Ense³, partenaire de l’événement, une journée intitulée “Quelle place pour les Low-Tech dans l’enseignement et la recherche ?”.

L’événement débutera à 9h, avec au programme des conférences, des retours d’expérience et des temps d’ateliers, et se terminera vers 19h30 avec la soirée grand public. L’objectif de cette journée permettra à la fois de rencontrer et d’échanger avec des enseignants-chercheurs, mais aussi de faire prendre conscience à la communauté académique de l’importance que peuvent avoir ces Low-Tech dans l’enseignement supérieur.

Pour participer à cet événement, les inscriptions se feront obligatoirement sur Internet dans le cadre de la crise sanitaire actuel, via le lien : https://forum-lowtre-ecosesa.univ-grenoble-alpes.fr/t/journee-dechanges-06-10-quelle-place-pour-les-low-tech-dans-la-recherche-et-lenseignement/25

Que sont les Low-Tech ?

Les Low-Tech sont une technologie accessibles et durables qui répondent à des besoins essentiels, notamment dans les domaines de l’énergie, l’eau ou encore la mobilité. Robustes, réparables, recyclables, ils sont pensés pour que leurs impacts écologiques et sociaux soient optimaux de la production jusqu’à la fin de vie. Le concept de Low-Tech apparaît dans les années 1970 par Ernst Friedrich Schumacher, un économiste britannique, pionner dans les idées écologistes.

Aujourd’hui, on retrouve les Low-Tech dans tous les secteurs d’activités (agriculture, industrie…), mais leur utilisation reste pour le moment très peu répandue en France.